En me levant ce matin, j'ai pu mettre la main sur ce qui me manque
plus précisément dans la vie :
Du feu.
Sunshower
Article cette fois-ci nommé d'après un standard de la musique latine
dont j'ai entendu la version du trio de Stan Getz dans un de ses albums live.
(Le seul qu'il, à ce qu'il parait, aurait enregistré sans être sous l'influence de l'alcool)
Je philosophais avec une amie à l'instant sur l'influence saisonnière sur la créativité
musicale, ce qui m'a amené à me questionner sur quel est mon contexte créatif favoris.
En commençant par ce qui brise ma créativité, soit :
Un piano.
Un éclairage trop fort.
Une limite de temps.
Et ce qui m'est inspirant :
Une guitare.
Un éclairage chandelle.
Un feu quelquonque.
Des sofas.
De la bière noire ou du thé.
Il faut donc en conclure que les café-bars m'inspirent et que
l'école me déspire (mot inventé).
Et comme il ne se passe aucun post sur ce blog sans mentionner un
album quelquonque, The Blue Record de Baroness est vraiment bon.
Je fais parti de ces personnes qui deviennent nostalgiques du début au milieu de l'hiver.
Cette neige fondante est absolument horrible.
Belle en tombant, Horrible lorsque tombé.
À ajouter dans la liste des trucs qui me "déspirent"...
J'aimerais profiter de ce post pour insèrer un paragraphe de paroles tiré de Be de
Pain of Salvation, puisque certaines personnes n'en écoutant pas se verront ainsi
exposés à ces dernières.
Dieu, ou Animae, après avoir observé la déchance de la race humaine :
I have come to understand one thing and one thing alone,
One little piece of understanding
Glowing through this void of blankness and clean slates
Like a beacon of hope
Or just a reminder that I was always wrong:
"Searching for yourself is like looking for the house you stand in
How could you possibly find it?
It's everywhere
It's all you know
And there are no other points of reference"
- Diffidentia -
Be <3
dont j'ai entendu la version du trio de Stan Getz dans un de ses albums live.
(Le seul qu'il, à ce qu'il parait, aurait enregistré sans être sous l'influence de l'alcool)
Je philosophais avec une amie à l'instant sur l'influence saisonnière sur la créativité
musicale, ce qui m'a amené à me questionner sur quel est mon contexte créatif favoris.
En commençant par ce qui brise ma créativité, soit :
Un piano.
Un éclairage trop fort.
Une limite de temps.
Et ce qui m'est inspirant :
Une guitare.
Un éclairage chandelle.
Un feu quelquonque.
Des sofas.
De la bière noire ou du thé.
Il faut donc en conclure que les café-bars m'inspirent et que
l'école me déspire (mot inventé).
Et comme il ne se passe aucun post sur ce blog sans mentionner un
album quelquonque, The Blue Record de Baroness est vraiment bon.
Je fais parti de ces personnes qui deviennent nostalgiques du début au milieu de l'hiver.
Cette neige fondante est absolument horrible.
Belle en tombant, Horrible lorsque tombé.
À ajouter dans la liste des trucs qui me "déspirent"...
J'aimerais profiter de ce post pour insèrer un paragraphe de paroles tiré de Be de
Pain of Salvation, puisque certaines personnes n'en écoutant pas se verront ainsi
exposés à ces dernières.
Dieu, ou Animae, après avoir observé la déchance de la race humaine :
I have come to understand one thing and one thing alone,
One little piece of understanding
Glowing through this void of blankness and clean slates
Like a beacon of hope
Or just a reminder that I was always wrong:
"Searching for yourself is like looking for the house you stand in
How could you possibly find it?
It's everywhere
It's all you know
And there are no other points of reference"
- Diffidentia -
Be <3
Insomnia For Months
J'avais pas déja appellé un post précédent avec ce nom de track?
Pas important.
Ce qui importe est de mentionner que je viens d'impulsivement (ENFIN) acheter
l'album Static Tensions de Kylesa.
C'est ce genre d'album que tu regrettes d'avoir acheté, jusqu'au moment
où tu le (re)fais jouer.
Garder secret aussi le fait que, malgré mon absence totale de budget, j'ai
fait commander "Be" de Pain of Salvation (ENFIN aussi).
C'était obligatoire après avoir passé de 11h du soir à 6h du matin à
écouter uniquement du Pain of Salvation jusqu'à en avoir des douleurs
aux oreilles.
Parenthèse scolaire:
- Le funk est un art que je ne maitriserai jamais académiquement.
Ces double-croches, je les ai dans le cul.
- Le swing, c'est plaisant à jouer, mais faut être concentré.
- Le latin, c'est plaisant à accompagner, mais pas à lire.
Je termines ce petit post par un débat philosophique :
Qu'est-ce que la maturité et comment s'applique-t'elle en musique?
(Ou l'art de s'arranger pour avoir des commentaires)
Pas important.
Ce qui importe est de mentionner que je viens d'impulsivement (ENFIN) acheter
l'album Static Tensions de Kylesa.
C'est ce genre d'album que tu regrettes d'avoir acheté, jusqu'au moment
où tu le (re)fais jouer.
Garder secret aussi le fait que, malgré mon absence totale de budget, j'ai
fait commander "Be" de Pain of Salvation (ENFIN aussi).
C'était obligatoire après avoir passé de 11h du soir à 6h du matin à
écouter uniquement du Pain of Salvation jusqu'à en avoir des douleurs
aux oreilles.
Parenthèse scolaire:
- Le funk est un art que je ne maitriserai jamais académiquement.
Ces double-croches, je les ai dans le cul.
- Le swing, c'est plaisant à jouer, mais faut être concentré.
- Le latin, c'est plaisant à accompagner, mais pas à lire.
Je termines ce petit post par un débat philosophique :
Qu'est-ce que la maturité et comment s'applique-t'elle en musique?
(Ou l'art de s'arranger pour avoir des commentaires)
Course of Fate
Ceci est un nouveau post.
Sa particularité, mis à part le fait d'être une espèce rare en voie d'extinction,
est d'être fait de contenu, contrairement à ses prédécesseurs.
Ce contenu demeure tout de même très personnel, mais quoi de mieux pour
poster des pensées, opinions et faits inutiles au reste du monde qu'un blog?
Je vais donc utiliser ce post pour m'exprimer négativement sur la vie, tout en tentant
de ne pas sombrer dans l'opinion trop poussé et trop hautement discutable, quoique
ce mode de pensée l'est beaucoup :
On dirait parfois que la société se divise par catégories de personnes et qu'aucune
d'entres elles ne veut (ou peut?) se séparer de sa catégorie. Par ce fait, il m'est impossible de
m'associer socialement avec un quelquonque groupe de personnes, puisques que mes valeurs
sont situées entres celles de plusieurs groupes de personnes et sont, entres elles, incompatibles ...
Mais si la société se divise réellement en groupes de personnes, pourquoi n'y a t'il pas de "groupe"
formé des personnes rejetées par chaque groupe inviduel par la faute de leur diversité
de pensée?
Peut-être ne sommes-nous pas assez nombreux.
Quelle est la solution?
Alors quelqu'un pourrait me demander "Pourquoi as-tu besoin de t'identifier à un groupe de personnes?"
À cela, je ne saurais pas quoi répondre. Le besoin est présent, mais inexplicable.
Si j'avais à former un de ces soi-disant "groupes", et qu'il devait être classé,
tel certains groupes sur last.fm (J'ai d'ailleurs emprunté une partie à un de ces groupes), il s'appellerait :
"Introverted, Lonely and Over-sensitive people who seem to appreciate
too many things for their own good, and have no social skills whatsoever"
Le fait est que je suis du type obsessif, que ma vie est centrée sur la découverte d'albums,
l'exploration trop en profondeur de styles de musique, d'instruments, de divers concepts de la musique ou de la culture en général...
Je ressens aussi un besoin d'exprimer ce mode de pensée par des mediums créatifs, quoique
personne n'en comprend le fondement, donc l'objet d'art qui en résulte va demeurer incompris
par la société, détruisant ainsi son utilité. Ce cercle vicieux fait que je ne crée pas, au détriment de ma santé mentale.
Par conclusion logique, il faut donc comprendre que ma santé mentale est extrèmement basse,
à la limite d'être inexistante à présent, pour faute d'impossibilité de m'exprimer, de communiquer
des idées (pour diverses raisons), et aussi par cause de facteurs extérieurs tels que :
1. J'ai vendu mon bébé, faute d'argent (il y a une métaphore à comprendre ici)
2. Plusieurs mois de mon existence n'ont servi strictement à rien, j'y ai écouté la même musique,
gardé la même vie sociale (c.-à-d. aucune), passé aucun cour, lu aucun livre, vu aucun film, gagné aucun argent.
3. Le café coute cher.
4. Le café coute cher.
5. Le café coute cher.
Au fond de ces problèmes, mon premier réflexe fut d'observer comment le reste
du monde règle ce genre de problemes (solitude, incompréhension) et de créer ma propre
méthode de pensée en me fondant sur la leur.
Le problème :
La majorité du monde n'ont aucune manière d'appréhender ce genre de problème,
puisque leur mentalité est tellement restrainte qu'ils ne réalisent même pas un millième de
ces problèmes, et/ou trouvent refuge en leur "groupe" de personnes comme un réconfort social.
Je n'ai, élas, pas encore cette option.
L'écart psychologique entre les divers groupes fait que je n'ai habituellement pas une bonne
entente avec aucune de ces personnes sur aucun sujet, puisque mon mode de pensée balance entre les leurs.
Voici un exemple plus précis de ce contexte social :
(Personnage 1) est un étudiant en musique qui a étudié la musique toute sa vie en musique en pratiquant selon la méthode académique.
(Personnage 2) est une étudiante en musique, en chant pop, qui n'a jamais étudié en musique, et bien évidemment, connait la musique par instinct et oreille.
(Protagoniste, moi) est un nouvel étudiant en musique, qui a toujours tout trouvé par oreille, mais doit apprendre la méthode académique, puisque la méthode instinctive ne fonctionne pas en contexte scolaire.
L'histoire :
------
(Personnage 1) et (Personnage 2), malgré leur conscience complètement opposée, s'entendent bien, justement grâce à leur absence de connaissance en la conscience de l'autre.
(Protagoniste), lui, comprend la conscience de chacun des 2 et ne sais pas où donner la tête.
Sa propre conscience ne lui permet pas de progresser, puisqu'elle n'est pas assez précise.
Lorsque (Protagoniste) tente de se lier avec (Personnage 1) et (Personnage 2),
sa compréhension de leurs différences enclenche une sorte de mécanisme d'auto-défense sociale chez chacun d'entre eux,
menant (Protagoniste) à croire qu'il doit absolument se prêter au mode
d'apprentissage d'un des deux s'il veut un jour s'entendre avec quelqu'un, et, du même coup, s'améliorer.
(Personnage 1) critique (Protagoniste) de ne pas se conformer assez à la méthode académique.
Essai 1 : (Protagoniste) tente alors du mieux qu'il peut de s'y prêter, mais il est habitué de tout apprendre par oreille,
par instinct musical, ce qu'il suppose que (Personnage 1) n'a pas, ou a développé avec beaucoup d'années de pratique selon la méthode académique.
(Protagoniste) décide alors de commencer le TRÈS long parcours de la méthode académique,
gagnant ainsi le respect de (Personnage 1) et s'améliorant à son instrument.
Entre en scène (Personnage 2) qui vient critiquer (Protagoniste) de ne pas se fier assez sur son instinct. Échec de l'essai 1.
(Protagoniste) ne veut/peut pas se contenter de suivre son oreille et son instinct comme (Personnage 2) puisque son instrument est beaucoup plus complexe dans son concept.
Il entre alors en conflit avec (Personnage 2) qui croit tout de même avoir raison,
sans avoir la moindre idée de ce que (Protagoniste) vient déja de passer au travers avec la
méthode académique.
Essai 2 : (Protagoniste) décide alors de prouver à (Personnage 2) qu'il peut jouer par instinct et oreille.
En faisant ainsi un retour à son ancienne méthode,
il perd, d'un seul coup, tout son progrès fait avec la méthode académique.
(Personnage 2) n'est pas plus impressionnée, puisque, étant une chanteuse,
elle ne s'interesse pas à l'instrument de (Protagoniste) même lorsque toute son âme y est.
Voyant cela, (Protagoniste) ne ressent plus aucun désir de suivre ce mode d'apprentissage.
Échec de l'essai 2.
(Protagoniste) se retrouve alors à la case départ, toujours sans le respect ni de (Personnage 1),
ni de (Personnage 2).
Beaucoup de temps s'est écoulé durant tout ce processus de progrès et de retour.
Ce temps, (Protagoniste) ne pourra pas le récupérer.
------
Au final, je suis ce protagoniste, et cette situation se répète incessament,
me menant à croire que je ne suis vraiment pas fait pour être en musique.
Et en fait, j'enmerde aussi le cours piano au plus haut point, puisqu'il ne fait que répèter le même
problème sur un autre instrument encore plus complexe et sur lequel je n'ai aucune base de connaissance, contrairement à la bass.
Faire une composition pour le cour de littérature équivaut à l'enfer puisque aucune composition ne fait l'affaire, faute d'être influencé par la même musique que le prof,
et aussi les élèves, puisqu'il me faudrait jouer cette composition.
Et il n'est absolument pas question que je joue cette composition seul,
puisque mon instrument n'est pas soliste.
Il peut l'être, mais son aspect soliste ne m'interesse pas.
Un autre cercle vicieux.
Quiquonque aura lu ce post assez attentivement devrait comprendre l'état de confusion dans lequel je me trouves.
Au moins, cette semaine, j'ai découvert Dark Suns.
Sa particularité, mis à part le fait d'être une espèce rare en voie d'extinction,
est d'être fait de contenu, contrairement à ses prédécesseurs.
Ce contenu demeure tout de même très personnel, mais quoi de mieux pour
poster des pensées, opinions et faits inutiles au reste du monde qu'un blog?
Je vais donc utiliser ce post pour m'exprimer négativement sur la vie, tout en tentant
de ne pas sombrer dans l'opinion trop poussé et trop hautement discutable, quoique
ce mode de pensée l'est beaucoup :
On dirait parfois que la société se divise par catégories de personnes et qu'aucune
d'entres elles ne veut (ou peut?) se séparer de sa catégorie. Par ce fait, il m'est impossible de
m'associer socialement avec un quelquonque groupe de personnes, puisques que mes valeurs
sont situées entres celles de plusieurs groupes de personnes et sont, entres elles, incompatibles ...
Mais si la société se divise réellement en groupes de personnes, pourquoi n'y a t'il pas de "groupe"
formé des personnes rejetées par chaque groupe inviduel par la faute de leur diversité
de pensée?
Peut-être ne sommes-nous pas assez nombreux.
Quelle est la solution?
Alors quelqu'un pourrait me demander "Pourquoi as-tu besoin de t'identifier à un groupe de personnes?"
À cela, je ne saurais pas quoi répondre. Le besoin est présent, mais inexplicable.
Si j'avais à former un de ces soi-disant "groupes", et qu'il devait être classé,
tel certains groupes sur last.fm (J'ai d'ailleurs emprunté une partie à un de ces groupes), il s'appellerait :
"Introverted, Lonely and Over-sensitive people who seem to appreciate
too many things for their own good, and have no social skills whatsoever"
Le fait est que je suis du type obsessif, que ma vie est centrée sur la découverte d'albums,
l'exploration trop en profondeur de styles de musique, d'instruments, de divers concepts de la musique ou de la culture en général...
Je ressens aussi un besoin d'exprimer ce mode de pensée par des mediums créatifs, quoique
personne n'en comprend le fondement, donc l'objet d'art qui en résulte va demeurer incompris
par la société, détruisant ainsi son utilité. Ce cercle vicieux fait que je ne crée pas, au détriment de ma santé mentale.
Par conclusion logique, il faut donc comprendre que ma santé mentale est extrèmement basse,
à la limite d'être inexistante à présent, pour faute d'impossibilité de m'exprimer, de communiquer
des idées (pour diverses raisons), et aussi par cause de facteurs extérieurs tels que :
1. J'ai vendu mon bébé, faute d'argent (il y a une métaphore à comprendre ici)
2. Plusieurs mois de mon existence n'ont servi strictement à rien, j'y ai écouté la même musique,
gardé la même vie sociale (c.-à-d. aucune), passé aucun cour, lu aucun livre, vu aucun film, gagné aucun argent.
3. Le café coute cher.
4. Le café coute cher.
5. Le café coute cher.
Au fond de ces problèmes, mon premier réflexe fut d'observer comment le reste
du monde règle ce genre de problemes (solitude, incompréhension) et de créer ma propre
méthode de pensée en me fondant sur la leur.
Le problème :
La majorité du monde n'ont aucune manière d'appréhender ce genre de problème,
puisque leur mentalité est tellement restrainte qu'ils ne réalisent même pas un millième de
ces problèmes, et/ou trouvent refuge en leur "groupe" de personnes comme un réconfort social.
Je n'ai, élas, pas encore cette option.
L'écart psychologique entre les divers groupes fait que je n'ai habituellement pas une bonne
entente avec aucune de ces personnes sur aucun sujet, puisque mon mode de pensée balance entre les leurs.
Voici un exemple plus précis de ce contexte social :
(Personnage 1) est un étudiant en musique qui a étudié la musique toute sa vie en musique en pratiquant selon la méthode académique.
(Personnage 2) est une étudiante en musique, en chant pop, qui n'a jamais étudié en musique, et bien évidemment, connait la musique par instinct et oreille.
(Protagoniste, moi) est un nouvel étudiant en musique, qui a toujours tout trouvé par oreille, mais doit apprendre la méthode académique, puisque la méthode instinctive ne fonctionne pas en contexte scolaire.
L'histoire :
------
(Personnage 1) et (Personnage 2), malgré leur conscience complètement opposée, s'entendent bien, justement grâce à leur absence de connaissance en la conscience de l'autre.
(Protagoniste), lui, comprend la conscience de chacun des 2 et ne sais pas où donner la tête.
Sa propre conscience ne lui permet pas de progresser, puisqu'elle n'est pas assez précise.
Lorsque (Protagoniste) tente de se lier avec (Personnage 1) et (Personnage 2),
sa compréhension de leurs différences enclenche une sorte de mécanisme d'auto-défense sociale chez chacun d'entre eux,
menant (Protagoniste) à croire qu'il doit absolument se prêter au mode
d'apprentissage d'un des deux s'il veut un jour s'entendre avec quelqu'un, et, du même coup, s'améliorer.
(Personnage 1) critique (Protagoniste) de ne pas se conformer assez à la méthode académique.
Essai 1 : (Protagoniste) tente alors du mieux qu'il peut de s'y prêter, mais il est habitué de tout apprendre par oreille,
par instinct musical, ce qu'il suppose que (Personnage 1) n'a pas, ou a développé avec beaucoup d'années de pratique selon la méthode académique.
(Protagoniste) décide alors de commencer le TRÈS long parcours de la méthode académique,
gagnant ainsi le respect de (Personnage 1) et s'améliorant à son instrument.
Entre en scène (Personnage 2) qui vient critiquer (Protagoniste) de ne pas se fier assez sur son instinct. Échec de l'essai 1.
(Protagoniste) ne veut/peut pas se contenter de suivre son oreille et son instinct comme (Personnage 2) puisque son instrument est beaucoup plus complexe dans son concept.
Il entre alors en conflit avec (Personnage 2) qui croit tout de même avoir raison,
sans avoir la moindre idée de ce que (Protagoniste) vient déja de passer au travers avec la
méthode académique.
Essai 2 : (Protagoniste) décide alors de prouver à (Personnage 2) qu'il peut jouer par instinct et oreille.
En faisant ainsi un retour à son ancienne méthode,
il perd, d'un seul coup, tout son progrès fait avec la méthode académique.
(Personnage 2) n'est pas plus impressionnée, puisque, étant une chanteuse,
elle ne s'interesse pas à l'instrument de (Protagoniste) même lorsque toute son âme y est.
Voyant cela, (Protagoniste) ne ressent plus aucun désir de suivre ce mode d'apprentissage.
Échec de l'essai 2.
(Protagoniste) se retrouve alors à la case départ, toujours sans le respect ni de (Personnage 1),
ni de (Personnage 2).
Beaucoup de temps s'est écoulé durant tout ce processus de progrès et de retour.
Ce temps, (Protagoniste) ne pourra pas le récupérer.
------
Au final, je suis ce protagoniste, et cette situation se répète incessament,
me menant à croire que je ne suis vraiment pas fait pour être en musique.
Et en fait, j'enmerde aussi le cours piano au plus haut point, puisqu'il ne fait que répèter le même
problème sur un autre instrument encore plus complexe et sur lequel je n'ai aucune base de connaissance, contrairement à la bass.
Faire une composition pour le cour de littérature équivaut à l'enfer puisque aucune composition ne fait l'affaire, faute d'être influencé par la même musique que le prof,
et aussi les élèves, puisqu'il me faudrait jouer cette composition.
Et il n'est absolument pas question que je joue cette composition seul,
puisque mon instrument n'est pas soliste.
Il peut l'être, mais son aspect soliste ne m'interesse pas.
Un autre cercle vicieux.
Quiquonque aura lu ce post assez attentivement devrait comprendre l'état de confusion dans lequel je me trouves.
Au moins, cette semaine, j'ai découvert Dark Suns.
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