Moment's Notice

Je socialises de plus en plus dans Aion, ce qui me
ramène à recommencer à philosopher sur des sujets
sur lesquels je n'avais pas philosophé depuis plusieurs années...
Avec moi-même.

Il y a certains sujets sur lesquels je n'ose même pas
philosopher avec personne, parce qu'ils demandent un
strict minimum d'expérience avec le sujet pour avoir
quelque chose à dire dessus.
Les seules personnes avec lesquelles on peut philosopher
sur les concepts de MMORPGs sont les joueurs que
l'on y côtoient.

D'habitude, mon appréciation pour MMORPG ne peut
débuter que lors de ma première "vraie" socialisation dans le jeu.

Aujourd'hui, j'ai fait une quête très difficile dans un groupe
organisé. Remarquez ici l'usage du moins possible de jargon.

La journée a débutée très normalement, je faisais quelques
quêtes en solo avec très peu d'entrain.
On frôle ici le concept de "grind", qui consiste à tuer et quêter
de façon répetitive et ennuyante dans un mmorpg.
(*cough* comme le grind metal *cough*)
Divers opinions très divergeants entourent le concept de "grind".



*preneur de screenshots compulsif*

Arrivant à l'entrée des mines Dukaki, j'ai croisé quelqu'un et simplement
prononcé "group?" pour ensuite me retrouver invité dans un "party"
de 6, dont certains étaient beaucoup plus haut niveau que moi.
Le taux d'expérience était cependant très haut, ce qui m'a amené à la
conclusion que je n'aurais pas survécu les mines Dukaki en solo.
Il y a de plus en plus d'endroits qui requierent absolument du travail d'équipe.
Aion commence à gagner mon coeur.

Nous avons donc procédés à s'assigner des rôles, s'entraider pour complèter
les quêtes actives de chacun, se montrer nos ailes (oui oui, dans Aion, on a des ailes),
rire de situations amusantes, féliciter ceux qui montaient de niveau,
bref, interagir socialement à la façon que seul un MMORPG permet.

Dans le premier des 2 prochains screenshots, les plus observateurs vont
remarquer un détail qui, pour certains, est inconcevable.






Le plus ironique est que le second screenshot a probablement été pris environ deux heures après le premier.

ZOMG

Waking Every God

Je me suis retrouvé un certain divertissement dans
le fait d'aider les autres dans un mmorpg.

Aion étant un mmorpg de dernière génération,
un peu comme certains autres que je ne nommerai
pas parce que leur simple mention me fait perdre
beaucoup d'espoir en l'humanité,
il contient beaucoup d'action et un niveau de socialisation très restreint.



Sa conception extrêmement individualiste ne m'empêche
pas pour autant de socialiser.
J'en ai conclus que dans un jeu obligeant autant les
joueurs à jouer seul, la meilleure forme d'interaction est
l'aide.
Après tout, quel serait l'utilité d'être en ligne entouré
de milliers de joueurs si l'on n'aurait absolument aucune
possibilité de contact avec eux?

De par ce fait, j'ai commencé à venir en aide à toutes les
personnes en détresse autour de moi.
Cette après-midi, par exemple, j'ai sauvé quelqu'un qui allait
se faire tuer par un golem.
Cette personne m'a remerciée.
L'expérience de la mort, dans la majorité des jeux en ligne,
est symbole de désespoir et de cheveux arrachés.

J'ai ensuite constaté que beaucoup d'entre eux ne remarquent
à peine qu'ils viennent d'être sauvés.
La trop grande facilité et rapidité des actions dans le jeu
en sont probablement causes.
Dans ces mmorpgs de derniere génération, tout doit se faire
rapidement, pour garder la concentration du public, un peu
comme dans les films gros budget (*cough*).

Je poursuis donc ma quête de rescousse des autres joueurs,
puisque plus j'avancerai dans le jeu, plus les joueurs que je vais
croiser vont être "conscients" de ma présence, par leur expérience
de jeu, et vont me remercier.
Qui sait, peut-être vais-je être recruté dans une guilde sociale.
Comme çà serait nostalgique.



Aussi geek que ce post a pu sembler, jouer à un mmorpg a toujours
été ma solution #1 lors de moments de solitude.
Cette période de ma vie en est une de solitude absolue.

Viccy le gladiateur éféminé :

How Could I

Dans un attentat à faire du positivisme obligatoire,
j'ai supprimé les 2 derniers posts.
Celui-ci est joyeux et plein reflète le bonheur d'avoir
encore acquéris 2 albums hier.




Only You

Ceci est un post sur la qualité sonore.
Si vous faites partie de cette très très très très très
très très très très très très très très très très très
très grande majorité de la population qui n'a rien à faire
de ce concept, ne m'en parlez jamais, et cessez de lire cet
article à partir d'ici.


Je vais vous montrer des exemples de différentes qualités sonores.
Il faut comprendre que la bande est l'espace gris et elle contient le son,
et que le bleu représente les fréquences sonores.
Aussitot que les fréquences touchent le bord de la bande ou la dépasse,
elles sont affligées par une distortion involontaire.

Voici un exemple de musique "détruite":



Le format est un MP3, donc on s'attend déja à un certain degré de compression.
On ne s'attend pas, par contre, à autant de saturation.
Il s'agit d'un extrait de musique commerciale visant un publique principalement adolescent.

Ici, un exemple de musique produite sans aucune saturation, dont le format est AUSSI un MP3 :




Il s'agit de The Morning After de Faith No More.

Les deux extraits sont relativement "heavy" et contiennent de la guitare
distortionnée environ au même degré.
Le premier extrait donne l'illusion d'être beaucoup plus "fort"
par sa surproduction, le fait que ses fréquences sonores arrivent à
la limite de la bande et se distortionnent.

L'aspect commercial de la musique oblige la compagnie de disque à forcer
le "gain" jusqu'à un niveau sonore très élevé pour attirer plus l'attention
du public, sacrifiant ainsi une grande majorité des ondes sonores.
Çà ne dérange pas sous la forme d'un MP3, puisque ce format est compressé.
Le problème se trouve lorsque l'album lui-même, qui dispose d'une bande
BEAUCOUP plus large, est tout aussi saturé.
Le son au moment de la production a été complémenté de tellement de gain
que la très large bande disponible s'en trouve saturée d'ondes sonores,
détruisant ainsi le CD original, qui représente le maximum de qualité dans lequel
on peut retrouver cet album.

Ce concept s'applique principalement à la musique "heavy" contenant déja
de la distortion, puisque la différence s'y trouve dans les plus basses fréquences.

Bien sur, la majorité du monde ne peuvent pas distinguer la différence, puisqu'ils
ont grandis avec le concept de la musique compressé dans la distribution des MP3s
sur internet et n'ont, habituellement, presque aucune conception des basses fréquences.
Çà ne motive aucunement les compagnies à bien produire la musique,
mais, au contraire, à la surproduire d'avantage.

La solution : que la section "production" et la section "distribution" de l'ensemble
des grosses compagnies de disque n'aient aucun contact entre eux.
C'est impossible, évidemment.

Pour quelqu'un qui sait distinguer ces fréquences, c'est comme être un
nouveau végétarien (par morale) dans un monde entouré de bouchers qui tueraient
des animaux publiquement constamment sans s'en rendre compte, et qui
trouveraient le végétarien "difficile" de ne pas le faire aussi.

Cette boucherie doit cesser, mais comment?
La masse controlée par les médias est plus forte que cette
très très subtile minorité de personnes.
Même parmi ceux qui ne font pas partie de cette masse, très
peu se préoccupent de ce déclin en qualité, parce que la
distribution par MP3 leur est tout aussi commune.

Cet article n'est pas contre le concept des MP3s mais bien
contre le concept de la musique qui est surproduite à l'état de CD.
Il y a une grosse nuance ici.
Les MP3s sont la cause de ce problème d'un point de vue social,
mais ne constituent pas le problème lui-même.

If You Wait

Extrait de conversation MSN :

-------------

Je dis :
avec le fait que t'aille pas voulu écouter Gone, té officiellement la derniere personne que jconnaisse à pas vouloir écouter du PoS

L'autre personne dit :
- err j'ai comme été écouter ta toune =_=

L'autre personne dit :
- bah... la premiere moitié
- pas mon genre parcontre

Je dis :
- jme suis dit : jvais y faire écouter le truc le plus vocal que jécoute et qui m'affecte psychologiquement,
et vu que sé sa qui cherche dans la musique, jaurais ptêtre enfin quelqun qui comprendrait.
- tétais comme mon dernier espoir en l'humanité XD

L'autre personne dit :
- dsl dude mais tu m'a pas linké aux lyrics pi j'entendait moins la voi kles instruments (turn off)


--------------


Conclusion : Ni ceux qui s'interessent aux instruments, ni ceux qui écoutent seulement le vocal
s'interessent à Pain of Salvation...
Existent-ils d'autres hybrides, ou suis-je le seul capable d'apprécier PoS?

S'ils ont des fans, où sont-ils dans ce trou perdu?

Rule the World

Aujourd'hui, j'ai fait mon dernier show.
Il contenait ma démoniaque pièce que j'avais surpratiquée pour jouer
à la perfection, ainsi qu'une autre dans laquelle je faisais un solo,
laquelle, je tiens à préciser, a été jouée au-delà de la perfection.

Encore une fois, personne ne m'a entendu.

La salle était pourtant pleine.
Comment autant de personnes ont-elles pu n'avoir si peu de compréhension
de mes efforts avec une telle synchronisation?
Ces personnes n'ont-elles rien à chier du jazz, ou simplement de
m'entendre jouer?

Suis-je destiné à ne jamais être entendu?
(remarquez ici le subtile lien avec ma théorie du destin)

War, Wisdom and Rhyme

Je marches sans relâche dans ce monde
de vice, d'ignorance et de lâcheté.
Ne souhaitant pas m'abaisser à ce niveau,
je me contrôle, m'instruit et m'implique.
Cela ne m'apporte que l'aliènation sociale.

Faut-il en conclure que leur mode de vie
est le bon?

Comment peut-on suivre le chemin de
l'ignorance tout en ayant pris conscience?

La connaissance est en fait une grande porte
qui se vérouille automatiquement d'un côté à
sa fermeture.

Lorsque l'on apprend quelque chose, on ne
pourra jamais le "désapprendre".
La connaissance est infinie.
Il m'est impossible de désapprendre ce qui
crée cette aliènation sociale.

Parmi ces fausses vertues de notre société
contemporaine, on retrouve aussi le vice,
principalement sous la forme du divertissement.
Le vice complet m'est innaccessible par sa dépendance
de l'ignorance du sujet.

La lâcheté, elle, dans notre société, prend une toute
autre forme que ce qu'on connait.
Elle se révèle, encore une fois, par l'ignorance.

L'être humain moderne, par lâcheté de vouloir
s'instruire et explorer le monde qui l'entoure,
va lâchement se résoudre à absorber l'information
qu'on lui donne comme vraie et absolue.
Nous avons ici la meilleure méthode d'aliènation
depuis l'avènement des religions organisées :

La télévision.

Où est passé notre humanité?

A Fond Farewell

Après tout çà...
Pourquoi ais-je toujours le même sentiment?
Était-ce réciproque? Comment le savoir?

Ulver time.

Snowdrops

Je me souviens maintenant pourquoi j'ai toujours
respecté The Pineapple Thief.

Ceci est un très court post en hommage à
Pineapple Thief.


Far Away

Ce qui compose le contenu de mon iPod en ce moment :

Tricky :
Maxinquaye - lossless
Pre-Millenium Tension - lossless
Angels with Dirty Faces - lossless
Knowle West Boy - lossless

Baroness :
Blue Record - lossless

Ulver :
Blood Inside - MP3
Perdition City - MP3
Shadows of the Sun - MP3



Le meilleur moyen de découvrir quelque chose est
de s'y sur-exposer, voir s'y forcer.
J'ai maintenant l'assurance de ne pas retourner
par réflexe vers un album quelquonque de Pain of Salvation
alors que toute cette musique demeure à découvrir.
Maintenant, esperons que cette nuit ne m'affligera
pas à nouveau de douloureuse insomnie.

Quoi de pire qu'une phase d'insomnie la semaine des examens?

Dead City Centres

Anne Rice qui défend Twilight sur Facebook...
ne fait que confirmer ma théorie :
Cette dame est une sainte.

Et
Perdition City de Ulver me redonne
envie d'écrire du post-apocalyptique
cyberpunk psychologique,
Ce que j'espères ne pas refaire.

Past Mistake

Et c'est ainsi que j'appris à ne jamais avoir d'attentes
par rapport à la vie.

J'ai toujours considéré "la vie" comme une sorte d'entrave
à mon amélioration en tant que personne, et son ensemble
comme une compétition envers elle.
On peut dire que présentement, elle mène de beaucoup
de points.
Je l'aimes, mais elle me déteste, elle m'en veut.

On dit qu'il faut toujours faire des efforts pour avoir ce que
l'on veut.
Qu'arrive-t'il dans le cas où l'on fait des efforts jusqu'à
l'auto-destruction sans ne jamais être récompensé?

Comment faut-t'il percevoir la vie pour ne pas perdre
la tête lorsque çà arrive?

Rose

Après une intense conversation philosophique sur la musique, j'en suis
arrivé à un début de conclusion philosophique musicale.

Les gouts musicaux subjectifs s'expliqueraient selon un ensemble
de "seuils de tolérance" pouvant être mesurés en pourcentages.
Le pourcentage maximal de chacun serait impossible à atteindre, sauf
si ce seuil est ce que la personne recherche dans la musique. Elle serait,
dans ce cas, à 100% par défaut.

Chaque musique que l'on entend, que çà soit par choix ou
obligation (radio dans un endroit public par exemple) influence
ces seuils à différents degrés, soit négativement ou positivement.

Par exemple, voici mon prototype très approximatif de
philosophie de la musique par seuils :

Brutalité : 50%
Douceur : 95%
Expérimentation : 80%
Expression : 100% (ce que je recherche, donc à 100% par défaut)

*EDIT: prendre note qu'il s'agît d'un seuil de tolérance,
et non d'un niveau de volonté à en rechercher.


Un "metalhead" caricatural, lui, par exemple, rechercherait la
brutalité. Son seuil de brutalité serait donc à 100% par défaut.

Ceux qui ont la douceur ou l'expérimentation à 100% sont les
plus rares, mais doivent tout de même exister.


Si vous avez quelque chose contre cette théorie, veuillez l'exprimer dans
les commentaires, d'une forme autre que "je ne suis pas d'accord".
Je me ferai un plaisir d'adapter la théorie, ou de vous critiquer si votre ajout
n'est pas bien expliqué, ou n'a simplement pas autant de sens.

Strung Out Again

Plan de la fin de semaine -
Vendredi : Dormir, pratique (niaisage pré-pré-compositionnel) avec le band
Samedi : CVs
Dimanche : Fucking rien.



J'ai trouvé l'album From A Basement On A Hill de Elliott Smith au...
Future Shop.

C'était déja très près d'être mon album préféré de sa longue discographie
de musique extrêmement bien écrite et extrêmement touchante.

J'ai aussi acheté des nouveaux écouteurs, ce qui m'amènera, dans le courant
de la fin de semaine (de 3 jours plutot que 2) à découvrir Ulver plus
en détails.

Je vises surtout à y aller album-par-album pour l'instant.
L'hésitation à commencer avec Shadows Of The Sun ou Perdition City
me fait toujours revenir à Riverside pour l'instant...
Mon état psychologique nostalgique y est aussi pour quelque chose.
A Perfect Circle aussi.
En plus de From a Basement on the Hill.


The Future Sound of Music

Je m'atèles maintenant à découvrir activement Ulver, malgré la mort
de mes écouteurs.

Plein de pensées m'envahissent l'esprit, par exemple :

Tout à l'heure, j'ai quitté le département de musique juste avant le
spectacle des chanteuses Jazz/Pop.

Voici la philosophie qui l'explique :

Au départ, j'envisageais un spectacle dans lequel je faisais un solo
comme une sorte de preuve d'affirmation de créativité envers tout
ceux qui m'entourent, soit le monde du département.
À mon surprenant étonnement, aucune des chanteuses Jazz ainsi
qu'un grand nombre d'autres personnes du département y étaient présents.
Cette preuve de soi, je l'ai fait envers 2 ou 3 profs qui m'avaient déja entendus
jouer, ou étaient seulement présents pour entendre quelqu'un d'autre jouer.
J'ai alors changé de philosophie par rapport à un concert.
La nouvelle manière dont je le perçois est beaucoup moins encourageante et pourrait
même faire partie des raisons pour lesquelles j'ai décidé de ne pas rester en musique :
Un solo s'addresse à qui veut l'écouter. Si personne ne veut l'écouter, il n'est donc pas
nécéssaire, ou forcé.
Suivant cette logique, je ne ressens pas le besoin de faire un solo puisqu'il serait forcé.
Sans l'expression, la musique ne m'interesse pas.

Les chanteuses Jazz représentent donc le comble de l'absence d'écoute portée
à mes solos par leur totale absence aux spectacles, ou simplement leur
incapacité à écouter la basse.
J'ai donc décidé qu'elles ne méritaient pas plus mon attention que je ne sembles
mériter la leur, surtout que je les ai déja entendu beaucoup plus que suffisament.

Demain, je joue la basse dans la composition de quelqu'un, probablement devant
beaucoup plus de monde qu'à mon midi-musique, puisque cette composition comporte
du vocal.
Je vais donc me prouver d'une certaine façon, et briller par mon absence.
La composition demande beaucoup d'interaction entre les instruments, c'est
la raison pour laquelle j'ai demandé d'y participer.

Faute d'avoir un public, je vais tout de même y vivre quelque chose d'unique, soit
l'interaction entre musiciens.
Çà n'a pas de prix, çà n'arrive pas assez souvent, c'est la raison pour laquelle je suis
en musique.
Malheureusement, ce n'est pas suffisant pour me garder en musique.



Vie alternative #2 : Échec.

Vie alternative #3 pourrait débuter bientôt, après les examens de fin de session.

Ou je pourrais rester pris dans la #2 pour encore plusieurs mois. Où trouver
une santé mentale décente, advenant cette option?






Sur un tout autre ton, aujourd'hui, j'ai revu une partie du show de Riverside
qui avait été posté sur Fabchannel il y a un an, avant qu'il ferme.









Undertow

juste une petite rechute de Second Life pour me changer les idées...
Café gratuit.

Sight Sinking

Stress pré-gigs-trop-importants-servant-aussi-d'examens
mélangé à un très minimum soupçon d'espoir à avoir une vie
sociale très minimaliste mais plus plaisante que toutes les autres.

Que dois-je donner pour que ce soit vrai?
Quel est le prix?
Si c'est réellement possible, çà peut pas être sans conséquence.
Si c'est réellement possible...

En attendant, me reste plus qu'à pratiquer.
P-R-A-T-I-Q-U-E-R

Latericius Valete

Comment est-ce possible d'aimer l'album "Be" de Pain of Salvation encore plus
que je l'aimais déja?

En l'achetant.

je ne pourrai officiellement plus jamais arrêter d'écouter cet album.
(Çà fait quand même déja plusieurs mois que je le réécoute plusieurs fois par semaine,
presque une fois par jour)
En qualité CD, l'album passe de "ambitieux" à "majestueux".

Hexed All

Encore une fois,, aurais-déja utilisé ce titre auparavant?

Hier c'était le show des compositions à l'école, et je n'y ai rien présenté.
C'était un coup de grâce psychologique à cet état d'esprit déja lamentable, et je
ne sais pas dans quel état je serais en ce moment si il n'y avait pas eu du positif
par la suite.

Et donc, je me suis fixé comme but ultime de faire une composition.
Il faudrait d'abord avoir un minimum de discipline et de structure...

B-r-a-i-n-s-t-o-r-m.

Au travail.

This Heart of Mine

Dès le soleil levé,
L'écho silencieux du lieu d'enseignement
Appelle le jeune chasseur d'idées hors de son sommeil.
"Laisse moi vivre, oh dieu de l'ortographe et des
Définitions symboliques, toi qui me perturbe l'esprit
Et me fait voir ce que je ne veux pas voir dans de
Bien-écrits récits!"

Chinese New Year

Jack Johnson, je l'ai dans le cul.
Le piano, je l'ai dans le cul.
Le power metal technique, je l'ai dans le cul.
Les gammes, je les ai dans le cul.
La musique conseillée par iTunes, je l'ai dans le cul.
Ma compagnie de cellulaire, je l'ai dans le cul.
La solitude, je l'ai dans le cul.
Hedley, je les ai dans le cul.
Dream Theater, je les ai vraiment très profond dans le cul.


Donc j'suis difficile ou j'ai un très très gros cul.

C'est mieux de poster pour chialer que de chialer live, ou de pas poster.

Wandering Star

Ce vide d'existence commence à combler mon être en entier.

Je suis sur le bord des larmes depuis au moins une heure en pensant :
"Où dois-je aller, que dois-je faire?"
Je n'ai rien à faire.
Rien à penser, aucune raison de marcher
en direction de nul part, le monde m'est fermé.
Je n'ai aucune intention d'allumer ma xbox ou de jouer à des
jeux sur PC. J'ai déja épuisé des milliers d'épisodes d'anime.
Il m'est impossible de seulement écouter de la musique sans m'endormir.
Il est trop tôt pour dormir.
Cela fait plus de 3 heures que je consacres à attendre que la vie me fasse
un signe, m'offre un réconfort quelquonque.
Est-ce un signe que je devrais vivre le jour plutôt que la nuit?
Échanger mon confort nocturne pour une raisons d'exister, un but?
Quel serait ce but?
Comment combler ce vide?
Cela peut sembler matérialiste mais j'ai besoin d'avoir un besoin matériel
pour marcher jusqu'au centre-ville, ne serait-ce que d'y boire un petit café.
Je n'ai maintenant plus de change pour un café.
Ma carte de guichet est perdue, la caisse est fermée, je ne peux pas en faire commander
une nouvelle sans aller à ma caisse principale, qui se trouve au cap, et qui, à cette heure
est aussi fermée. Je ne peux m'y rendre avant la fin de semaine. La carte prendrait ensuite
2 jours minimum à arriver.
Ma seule autre raison d'aller au centre-ville est d'y emprunter des albums à la bibliothèque,
ce qui est impossible puisque ma carte pour celle-ci est dans mon sac d'école, qui se trouve
dans un cube de pratique.
La seule chose que je pourrais faire serait de pratiquer, mais je n'en ressens plus la motivation
puisque j'ai déja épuisé cet échappatoire la semaine dernière jusqu'à empiéter sur ma santé.

Que me reste-t'il à part une panoplie de jeux videos sans interêts?

Comment j'ai pu passer les 2 dernières soirées/nuits à absolument rien faire?
Rien de constructif, rien de futile, rien de distrayant, simplement rien.
Je ne suis rien, puisque je n'ai rien, je ne fais rien et je n'y peux rien.


La majorité des mots de ce post sont probablement dans le champ lexical de la déprime sévère.

Down by the Water

J'ai toujours ce déchirant besoin de complicité.
Introuvable.

Non, mensonge, il est droit devant ma face.
Quelqu'un l'a juste enchaîné, barré et avalé la clé.



Au moins, j'ai encore dû raccourcir ma vie de quelques années avec la quantité
de cafés que j'ai bu aujourd'hui.


Emprunter Dummy de Portishead à la bibliothèque était une très bonne chose par contre.

All Stripped Down

Trouble comes again with the harsh sound of beating drums,
Candle light, coffee with sugar and the ever-frustrating
absence of battery juice in the morning.
May this moment of learning be damned.

- Prière du cours de litté.2 du Mardi matin, Bibi



From Silence to Noise

Je commence à attrapper le blues de la pratique...
Ces derniers temps, toute motivation à mon instrument laisse
place à un énorme vide intérieur pour cause qui m'est peut-être connue
mais que je ne tiens pas à révèler.



Si vous entendez des bruits douteux et dissonants provenant d'une
salle de classe sombre et sinistre au cégep la nuit,
il s'agit de ma frustration.

Si vous y entendez de belles mélodies, c'est la fragile flamme de la motivation
qui m'habite assez longtemps pour improviser une subtile ballade jazz.

Cela ne s'applique évidemment que si vous avez ma conception de ce qu'est
une belle mélodie, ce qui n'est probablement pas le cas dans cette société
hautement opinionisée.
Sachez tout de même que cette mélodie est ressentie jusqu'à un point que
vous ne saurez jamais exprimer sur un instrument, et ce n'est pas par connaissance
technique de l'instrument en question.


Je devrais poster l'arrière-arrière fond de mes émotions sous la forme de texte
en Italique plus souvent...
Écouter du Kylesa n'est pas bon pour le moral.