J'essaie habituellement d'éviter de parler du processus de création
de la musique, parce que çà enlève habituellement de l'attrait chez
les auditeurs en grande majorité.
Je vais cependant faire une exception ici et maintenant pour expliquer
comment sont nés les concepts de certaines de mes pistes d'électronica
expérimental.
Le but est simple : Mettre en contexte.
Par exemple, en créant "Daytime Automaton", je voulais tenter de recréer
de manière sonore l'état d'esprit semblable à un auto-pilote qu'il nous faut
adopter pour vivre en société. C'est pourquoi piste est très robotique.
Dans "Nightmare In Nine", J'ai tenté de faire quelque chose qui se danse, mais
elle a éventuellement tournée en étrangeté. On y retrouve une sorte de solo de
synthé-trompette très douteux, signe que je n'ai pas pu rester dans les contraintes
de la musique qui se danse.
Avec "Never Any Life" tente de plonger dans une sorte de voyage mystique
vers un monde de plaines orageuses sur lesquelles l'auditeur se trouve seul et
laissé sans aucun moyen, et ne peut que réfléchir sur sa personne et attendre
(joyeusement) sa mort.
Aujourd'hui, en créant "Another Light", j'ai tenté d'amener une émotion d'espoir
avec l'aide d'une progression d'accords spécifique et des rythmes beaucoup plus
simples qu'à l'habitude, voir même dansable.
http://myspace.com/JustMice
Que le dieu de la musique me pardonne cette
explication interdite du processus créatif.
EDIT :
L'album en question, terminé.
Le prochain matériel sera beaucoup plus mature et structuré, c'est mon objectif.
1. Frail
2. Belief
3. Never Any Life
4. Confidence
5. Nightmare in Nine
6. And Desperate We Turn to Television
7. No Signal City
8. Another Light
9. Daytime Automaton
10. Near Life Paranoia
Megaupload
Enjoy, maybe.
Je vais donc maintenant procéder à acquérir plus de samples et d'effets,
dans le but de transformer mon son complètement.
There.
Scared that my endless dreams of Together will cease in tormenting pride.
As surreal visions of infinite beauty reflect in your eyes only, temporarily.
My fear of a lonely tomorrow takes over at your every step in the distance.
Nothing in mind but clouds and stars of hope from yesterday's moment of Never-Again.
No resonance of sound in time will ever fill the hole through which you came.
Memories echo on these walls as your everlasting perfume reminds me of their existence.
That scent passes through my soul to the point of no more bones.
Your touch has taken away all feelings in my flesh and skin in mystical ways.
As we draw closer in the shortest evening of our lives,
I can't hear the calling to nothingness any longer.
Please believe me when I say that
Your eyes, they hold my heart in the most cruel ways.
- Guess who.
As surreal visions of infinite beauty reflect in your eyes only, temporarily.
My fear of a lonely tomorrow takes over at your every step in the distance.
Nothing in mind but clouds and stars of hope from yesterday's moment of Never-Again.
No resonance of sound in time will ever fill the hole through which you came.
Memories echo on these walls as your everlasting perfume reminds me of their existence.
That scent passes through my soul to the point of no more bones.
Your touch has taken away all feelings in my flesh and skin in mystical ways.
As we draw closer in the shortest evening of our lives,
I can't hear the calling to nothingness any longer.
Please believe me when I say that
Your eyes, they hold my heart in the most cruel ways.
- Guess who.
Lla Ti Fo Mottob Eht Ta
J'ai pris finalement la très étrange décision de ne plus mettre dans mon
lecteur MP3 que la musique que je dois découvrir.
C'est après longue réflexion que j'en ai conclus ceci :
La découverte de nouvelle musique est l'une des seules choses qui font
mon bonheur.
- Découvrir de la musique
- Lire d'un/une auteur(e) qui écrit bien (voir : Anne Rice)
- Recevoir et donner de l'affection (ne s'applique qu'à une seule personne du sexe opposé)
- Jouer du jazz
- Regarder des animes
- Dessiner
- Faire de la musique électronique expérimentale
Je découvres présentement mieux le groupe progressif
suèdois Anglagard, puisqu'ils semblent être dans le processus de reconstitution et d'écriture d'album
(encore une fois, 2010 s'annonce une année merveilleuse pour les fans de vraie musique)
ainsi que Atheist, Red Sparowes, Years Of Rice And Salt, Pendulum (LOL) et surtout, Magenta.
J'effectue aussi un retour vers la musique plus récente et atmosphèrique du légendaire groupe
pop-prog des années 80, Marillion. Le tout agrémenté par une appréciation infinie pour l'album
de "lost session" du saxophoniste non-virtuose Stan Getz, qui est maintenant dans mes 3 musiciens
jazz favoris, et par une re-découverte de la discographie quand même extensive de Gazpacho.
EDIT : Mon nouveau lecteur MP3, qui est un Sony d'ancienne génération, s'appelle maintenant
"Only Friend" et il contient des albums en... WAV.
Attention l'espace.
lecteur MP3 que la musique que je dois découvrir.
C'est après longue réflexion que j'en ai conclus ceci :
La découverte de nouvelle musique est l'une des seules choses qui font
mon bonheur.
Ces choses pourraient être énumérées ici et maintenant, et puisque je
suis sensé dormir et ne suis pas dans un état d'esprit sain, les voici :
- Découvrir de la musique
- Lire d'un/une auteur(e) qui écrit bien (voir : Anne Rice)
- Recevoir et donner de l'affection (ne s'applique qu'à une seule personne du sexe opposé)
- Jouer du jazz
Il y a aussi ces choses que mon subsconscient semble affectionner particulièrement,
mais que mon esprit ne considère pas forcément comme mes "goûts" :
- Dessiner
- Faire de la musique électronique expérimentale
Je découvres présentement mieux le groupe progressif
suèdois Anglagard, puisqu'ils semblent être dans le processus de reconstitution et d'écriture d'album
(encore une fois, 2010 s'annonce une année merveilleuse pour les fans de vraie musique)
ainsi que Atheist, Red Sparowes, Years Of Rice And Salt, Pendulum (LOL) et surtout, Magenta.
J'effectue aussi un retour vers la musique plus récente et atmosphèrique du légendaire groupe
pop-prog des années 80, Marillion. Le tout agrémenté par une appréciation infinie pour l'album
de "lost session" du saxophoniste non-virtuose Stan Getz, qui est maintenant dans mes 3 musiciens
jazz favoris, et par une re-découverte de la discographie quand même extensive de Gazpacho.
EDIT : Mon nouveau lecteur MP3, qui est un Sony d'ancienne génération, s'appelle maintenant
"Only Friend" et il contient des albums en... WAV.
Attention l'espace.
Close to the Edge
En ce moment d'auto-questionnement, trop de réponses à mes
questions se battent violemment dans ma cervelle comme sur un
champs de bataille médiéval.
J'aurais tout pour être heureux, mais même en pèsant les pours et
les contres de tout, je ne le suis pas.
Je suis seul, sans emploi, sans réel but ultime à atteindre.
J'en suis venu à une conclusion facilement contradictible :
L'argent fait le bonheur.
Malgré tout ce que l'on nous dira, l'argent fait tourner le monde.
Sans argent, on ne peut pas subvenir à nos besoins essentiels,
ou encore moins ceux qui sont secondaires mais qui nous apportent
du bonheur. L'argent permet de sortir et socialiser. L'argent achète
la musique. L'argent achète les shows, les instruments, la bière artisanale,
le fromage, le vin, la littérature, les vêtements qui projètent une bonne image.
L'argent permet de se déplacer. L'argent permet d'être bien logé.
Oui, l'argent fait le bonheur.
Je n'en ai pas.
Ce n'est pas matérialiste de penser que l'argent procure le bonheur,
c'est simplement d'accepter son importance capitale dans notre société,
puisque nous ne pourrions jamais revenir au troc du jour au lendemain.
La seule chose qui pourrait, selon moi, compenser pour le fait de posséder
moins d'argent serait d'être en lien social avec une ou plusieurs personnes
de valeur.
Je n'ai, cependant, pas cette chance.
Peu de personnes l'ont. Notre société capitaliste privilégie les relations
instantanées et non-gratifiantes à un point tel que le concept de fraternité
est oublié à jamais.
J'ai seulement un grave besoin de fraternité, ou d'argent.
Peu importe lequel des deux arrivera en premier.
Bien sûr, écouter du Isis ne doit pas aider à cet état d'esprit vraiment très bas.
On me reproche souvent ce péssimisme.
Je dois le travailler.
Çà serait la cause de ma solitude et de mon incapacité à trouver
un emploi, et donc, la solution à ces maux.
Le péssimisme effraie la majorité.
Le réalisme, beaucoup plus.
questions se battent violemment dans ma cervelle comme sur un
champs de bataille médiéval.
J'aurais tout pour être heureux, mais même en pèsant les pours et
les contres de tout, je ne le suis pas.
Je suis seul, sans emploi, sans réel but ultime à atteindre.
J'en suis venu à une conclusion facilement contradictible :
L'argent fait le bonheur.
Malgré tout ce que l'on nous dira, l'argent fait tourner le monde.
Sans argent, on ne peut pas subvenir à nos besoins essentiels,
ou encore moins ceux qui sont secondaires mais qui nous apportent
du bonheur. L'argent permet de sortir et socialiser. L'argent achète
la musique. L'argent achète les shows, les instruments, la bière artisanale,
le fromage, le vin, la littérature, les vêtements qui projètent une bonne image.
L'argent permet de se déplacer. L'argent permet d'être bien logé.
Oui, l'argent fait le bonheur.
Je n'en ai pas.
Ce n'est pas matérialiste de penser que l'argent procure le bonheur,
c'est simplement d'accepter son importance capitale dans notre société,
puisque nous ne pourrions jamais revenir au troc du jour au lendemain.
La seule chose qui pourrait, selon moi, compenser pour le fait de posséder
moins d'argent serait d'être en lien social avec une ou plusieurs personnes
de valeur.
Je n'ai, cependant, pas cette chance.
Peu de personnes l'ont. Notre société capitaliste privilégie les relations
instantanées et non-gratifiantes à un point tel que le concept de fraternité
est oublié à jamais.
J'ai seulement un grave besoin de fraternité, ou d'argent.
Peu importe lequel des deux arrivera en premier.
Bien sûr, écouter du Isis ne doit pas aider à cet état d'esprit vraiment très bas.
On me reproche souvent ce péssimisme.
Je dois le travailler.
Çà serait la cause de ma solitude et de mon incapacité à trouver
un emploi, et donc, la solution à ces maux.
Le péssimisme effraie la majorité.
Le réalisme, beaucoup plus.
Erase, start over.
We all bathe in an ocean of helplessness and confusion,
Hoping to someday find stability in all things material.
Somehow, on the way, most of us find stability in the absence of truth,
While others begin to walk another way.
As I... as we travel that desolate road of discomfort and anger,
We somehow find solace in the very knowledge of our situation.
We don't flock together, though we would like.
We feed on knowledge of ourselves and others.
We are The Damned.
- Quelqu'un
Hoping to someday find stability in all things material.
Somehow, on the way, most of us find stability in the absence of truth,
While others begin to walk another way.
As I... as we travel that desolate road of discomfort and anger,
We somehow find solace in the very knowledge of our situation.
We don't flock together, though we would like.
We feed on knowledge of ourselves and others.
We are The Damned.
- Quelqu'un
Brain Overload.
J'ai présentement une multitude de tâches toutes aussi importantes
les unes que les autres à faire, et ce dans l'espace de l'après-midi.
Je n'ai, cependant, pas encore terminé de prendre mes 3-4 cafés obligatoires
pour être mentalement fonctionnel.
- Pratiquer la contrebasse (je viens de la louer, il y a du rattrapage à faire)
- Écouter Alive de Meshuggah (belle petite activité romantique post-St-Valentin)
- Aller chercher mon chèque à mon ex-job
- Faire la vaisselle, qui est vraiment intense depuis hier.
- Faire un lavage, qui est obligatoire aujourd'hui.
- Manger (optionnel)
- Acheter :
o De la viande, seconde moitié de mon épicerie
o Une nouvelle brosse à dents
o Un fil pour mon nouveau lecteur MP3 donné par mon père
o Alive de Meshuggah (optionnel)
et en soirée,
- Visiter mon père à son hôtel
- Jazz au centre-ville, incontournable
- Manger? (optionnel)
les unes que les autres à faire, et ce dans l'espace de l'après-midi.
Je n'ai, cependant, pas encore terminé de prendre mes 3-4 cafés obligatoires
pour être mentalement fonctionnel.
- Pratiquer la contrebasse (je viens de la louer, il y a du rattrapage à faire)
- Écouter Alive de Meshuggah (belle petite activité romantique post-St-Valentin)
- Aller chercher mon chèque à mon ex-job
- Faire la vaisselle, qui est vraiment intense depuis hier.
- Faire un lavage, qui est obligatoire aujourd'hui.
- Manger (optionnel)
- Acheter :
o De la viande, seconde moitié de mon épicerie
o Une nouvelle brosse à dents
o Un fil pour mon nouveau lecteur MP3 donné par mon père
o Alive de Meshuggah (optionnel)
et en soirée,
- Visiter mon père à son hôtel
- Jazz au centre-ville, incontournable
- Manger? (optionnel)
Mais quelle journée de cinglé.
Valentine's Day
Hier, je me suis procuré la trame sonore du film d'action "Unleashed".
Pourquoi?
Parce que c'est en fait du Massive Attack.
Je n'ai pas particulièrement apprécié le film, étant le seul membre de mon
groupe facebook "si toi non plus tu n'aimes pas l'action trop rapide dans les films".
On y reconnaît en effet toute l'atmosphère planante et minimaliste de la musique
habituelle de Massive Attack mais sous la forme restreinte d'une trame sonore
ne contenant aucun vocal.
Merci, Massive Attack.
Merci, magasin de musique underground Montréalais.
C'était une très belle St-Valentin.
J'en suis présentement à réfléchir sur le fait de peut-être bientôt tenter
de consolider ma collection de disques par préférences par le biais d'échanges
et de ventes à ces magasins de musique underground.
Il y a plusieurs dizaines d'albums que je me suis toujours juré d'acheter mais
que je n'ai jamais réellement trouvé l'argent. En échangeant tout ces albums
que j'avais simplement achetés sur un coup de tête ou une découverte subite
contre ces albums qui ont marqués ma vie, ma collection reflèterait beaucoup
plus mes goûts et m'offrirait beaucoup plus de musique à écouter sur CD, ce
que je me suis juré de faire en arrivant à Montréal.
Pourquoi?
Parce que c'est en fait du Massive Attack.
Je n'ai pas particulièrement apprécié le film, étant le seul membre de mon
groupe facebook "si toi non plus tu n'aimes pas l'action trop rapide dans les films".
On y reconnaît en effet toute l'atmosphère planante et minimaliste de la musique
habituelle de Massive Attack mais sous la forme restreinte d'une trame sonore
ne contenant aucun vocal.
Merci, Massive Attack.
Merci, magasin de musique underground Montréalais.
C'était une très belle St-Valentin.
J'en suis présentement à réfléchir sur le fait de peut-être bientôt tenter
de consolider ma collection de disques par préférences par le biais d'échanges
et de ventes à ces magasins de musique underground.
Il y a plusieurs dizaines d'albums que je me suis toujours juré d'acheter mais
que je n'ai jamais réellement trouvé l'argent. En échangeant tout ces albums
que j'avais simplement achetés sur un coup de tête ou une découverte subite
contre ces albums qui ont marqués ma vie, ma collection reflèterait beaucoup
plus mes goûts et m'offrirait beaucoup plus de musique à écouter sur CD, ce
que je me suis juré de faire en arrivant à Montréal.
Monolith
J'ai récemment commencé un anime (en HD, wouhou!) très original.
L'histoire consiste en un groupe d'enfants dans un monde "virtualisé" à l'aide de lunettes.
Leur univers est rempli d'objets virtuels ne pouvant être vus ou utilisés que par le biais
de ces lunettes.
L'effet est très surréaliste, mais porte en même temps sur le sujet des
effets de la modernisation sur la société.
Les personnages ont des caractères qui sortent des clichés tout en gardant
en tête qu'ils sont essentiellement des jeunes.
C'est aussi un anime très impressionnant visuellement contrairement aux grosses productions.
Le style rappelle plus celui d'un film d'anime à gros budget, ce qui est très surprenant.
C'est ce genre de série qui semble viser un public mature tout en restant généralement accessible.
Bref, une belle découverte, encore une fois.
Denno Coil
L'histoire consiste en un groupe d'enfants dans un monde "virtualisé" à l'aide de lunettes.
Leur univers est rempli d'objets virtuels ne pouvant être vus ou utilisés que par le biais
de ces lunettes.
L'effet est très surréaliste, mais porte en même temps sur le sujet des
effets de la modernisation sur la société.
Les personnages ont des caractères qui sortent des clichés tout en gardant
en tête qu'ils sont essentiellement des jeunes.
C'est aussi un anime très impressionnant visuellement contrairement aux grosses productions.
Le style rappelle plus celui d'un film d'anime à gros budget, ce qui est très surprenant.
C'est ce genre de série qui semble viser un public mature tout en restant généralement accessible.
Bref, une belle découverte, encore une fois.
Life
Encore la vie qui s'accorde le droit de me donner un punch violent
en raison de mes récents agissements au travail.
C'est la première fois que je me fais réellement renvoyer avec une
raison personnelle et non un simple manque d'heures à donner...
Je suis pourtant parfaitement conscient de ne pas avoir bien travaillé,
mais au point d'être renvoyé?
Je me donnerai beaucoup plus dans mon prochain emploi.
Avais-je déja mentionné ma haine profonde pour la recherche d'emploi?
Elle se manifeste présentement.
La vie suit cependant son cours, je suis tout de même heureux, ce
qui ne serait pas le cas si j'avais été renvoyé d'un emploi à Trois-Rivières.
C'est déja un bon début...
Ma joie vient en partie de mon nouveau grand cercle social de jazz
montréalais, du fait que quelqu'un que j'apprécie vraiment viendra me
visiter vendredi, et de cet album de blog que je viens de découvrir :
Radio Swan is Down - Laura
Et l'édition japonaise, qui est en fait une peinture complètement differente.
et cette quote amusante sur le site de leur label :
Oui, la vie est belle.
en raison de mes récents agissements au travail.
C'est la première fois que je me fais réellement renvoyer avec une
raison personnelle et non un simple manque d'heures à donner...
Je suis pourtant parfaitement conscient de ne pas avoir bien travaillé,
mais au point d'être renvoyé?
Je me donnerai beaucoup plus dans mon prochain emploi.
Avais-je déja mentionné ma haine profonde pour la recherche d'emploi?
Elle se manifeste présentement.
La vie suit cependant son cours, je suis tout de même heureux, ce
qui ne serait pas le cas si j'avais été renvoyé d'un emploi à Trois-Rivières.
C'est déja un bon début...
Ma joie vient en partie de mon nouveau grand cercle social de jazz
montréalais, du fait que quelqu'un que j'apprécie vraiment viendra me
visiter vendredi, et de cet album de blog que je viens de découvrir :
Radio Swan is Down - Laura
Et l'édition japonaise, qui est en fait une peinture complètement differente.
et cette quote amusante sur le site de leur label :
I.
cut up dinner's leftovers
and put them on the table
and laura will come in the night
laura is grateful for all offerings
II.
beware: hot sugar water sticks while it burns laura's skin
III.
laura's eyes change colour in response to sudden noises
IV.
laura may sometimes forget to respect authority; do not fail to respect hers
V.
laura and your father need some time apart
VI.
laura devises violent spam revenge attacks, then counts to ten and presses "delete"
VII.
never forget laura loves you
because one day she might stop
Oui, la vie est belle.
The List
Bon, j'ai officiellement trop d'albums à acheter/précommander et de
shows à aller voir. Il est temps de faire une liste, dans un certain ordre...
Massive Attack - Heligoland *
shows à aller voir. Il est temps de faire une liste, dans un certain ordre...
Shows:
10 Mars - Orphaned Land - Foufounes Électriques
14 Avril - Caspian - Le Divan Orange
16 Avril - Red Sparowes - La Sala Rossa
21 Avril - Transatlantic - Metropolis
27 May - MONO - La Sala Rossa
Albums:
Transatlantic - The Whirlwind
Orphaned Land - The Never-Ending Way of ORwarriOR
The Reasoning - Adverse Camber
Pain Of Salvation - Road Salt *
The Pineapple Thief - ? *
CYNIC - ? (EP) *
Pure Reason Revolution - ? *
...
Just Mice - Brighter Days Long Gone... (EP - 2010)
http://www.megaupload.com/?d=00XI465L
Tracklist :
1. Brighter Days Long Gone, I - Cold Reigns (5:18)
2. Brighter Days Long Gone, II - Empty Fields (2:49)
3. Brighter Days Long Gone, III - Complete Surrender (1:30)
Genres : Glitch, Electro, IDM, Noise, Sampling
Just Mice est un projet de musique électronique expérimentale par euh... moi.
Il s'agît d'une sorte d'expérience de quelques minutes à l'interieur de
mon esprit, un voyage sonore très étrange, un peu troublant même.
Mais bon, çà ne sert à rien de le décrire, vu sa durée.
Avertissement, la dernière partie est un gros mindf*ck.
Enjoy!
Cette musique a probablement été beaucoup plus divertissante à créer
qu'elle sera pour vous à écouter. Peu importe.
Ehm...
Je regardes par la fenêtre et m'exclâme :
"Mais qu'est-ce? Une automobile aux lumières avant rouge et bleu?"
Puis, je retires mes lunettes 3D.
Fail.
"Mais qu'est-ce? Une automobile aux lumières avant rouge et bleu?"
Puis, je retires mes lunettes 3D.
Fail.
Paths to a Digital Dawn
Je remercies le ciel (euh... LateralNoise) de parfois m'apporter des
illuminations divines musicales comme celle-ci.
Il s'agît de Ruined Machines, un projet éclectique à mi-chemin entre
la beauté et la simplicité du post-rock traditionnel, le space-rock plus
psychédélique digne de Pure Reason Revolution et les tendances rock
fondamentales rappellant la tradition des Smashing Pumpkins.
Cet hybride douteux est tenu ensemble par une grande sensibilité
émotionnelle comme l'on associe généralement au post-rock.
On y retrouve aussi de légers passages presque math-rock malgré
le fait que les compositions sont généralement très simples et, on suppose,
composées à l'oreille et non par le biais d'une quelquonque structure.
C'est ce genre de musique qui me rend fier de piger une grande majorité
des albums que je connais sur des blogs.
J'en suis présentement non pas au jugement mais à l'assimilation appréciative
de l'album The Grasping Hands Of Possibility.
Plus de gens devraient faire preuve d'assimilation appréciative pour divers
concepts de la musique. Le jugement est en même temps un don et une
malédiction, il faut savoir l'utiliser avec modération. On ne gagne rien à
s'attribuer le droit de juger l'art selon notre propre conception.
Je n'avais pas l'intention de me prononcer sur le sujet, mais ce qui suit
m'a à peu près enlevé les mots-qui-n'allaient-pas-être-prononcés de la bouche.
Copié-collé de LateralNoise :
An album is a journal entry as well as its creator's masterpiece at its time of completion.
I work with the tools I have to paint on an infinite canvas. I am an artist. I am a musician.
Each album i've written reflects the changes i've gone through, and in turn the album changes me once it's complete.
The new album, "Pressure & Obsession", tells a fictional story through music, but at the same time,
largely reflects exactly what's been through my head, in my heart and in front of my eyes this whole time.
It's as heartfelt as can be. It is my vent, it is my release. It is what i haven't expressed through words.
It is an extension of my self. It is everything about me."
illuminations divines musicales comme celle-ci.
Il s'agît de Ruined Machines, un projet éclectique à mi-chemin entre
la beauté et la simplicité du post-rock traditionnel, le space-rock plus
psychédélique digne de Pure Reason Revolution et les tendances rock
fondamentales rappellant la tradition des Smashing Pumpkins.
Cet hybride douteux est tenu ensemble par une grande sensibilité
émotionnelle comme l'on associe généralement au post-rock.
On y retrouve aussi de légers passages presque math-rock malgré
le fait que les compositions sont généralement très simples et, on suppose,
composées à l'oreille et non par le biais d'une quelquonque structure.
C'est ce genre de musique qui me rend fier de piger une grande majorité
des albums que je connais sur des blogs.
J'en suis présentement non pas au jugement mais à l'assimilation appréciative
de l'album The Grasping Hands Of Possibility.
Plus de gens devraient faire preuve d'assimilation appréciative pour divers
concepts de la musique. Le jugement est en même temps un don et une
malédiction, il faut savoir l'utiliser avec modération. On ne gagne rien à
s'attribuer le droit de juger l'art selon notre propre conception.
Je n'avais pas l'intention de me prononcer sur le sujet, mais ce qui suit
m'a à peu près enlevé les mots-qui-n'allaient-pas-être-prononcés de la bouche.
Copié-collé de LateralNoise :
An album is a journal entry as well as its creator's masterpiece at its time of completion.
I work with the tools I have to paint on an infinite canvas. I am an artist. I am a musician.
Each album i've written reflects the changes i've gone through, and in turn the album changes me once it's complete.
The new album, "Pressure & Obsession", tells a fictional story through music, but at the same time,
largely reflects exactly what's been through my head, in my heart and in front of my eyes this whole time.
It's as heartfelt as can be. It is my vent, it is my release. It is what i haven't expressed through words.
It is an extension of my self. It is everything about me."
-Joseph Kenyon, Ruined Machines.
*cough* Peanut Butter *cough* ...
J'aurais parfois envie de faire un post complet de rage sur tout les
sujets qui nous briment en tant que personne mais auxquels je ne peux
rien changer et me fait reprocher de ne pas être d'accord chaque jour,
un peu comme dans Cribcaged de Pain Of Salvation, si votre esprit non-endoctriné
à Pain Of Salvation comprends ce à quoi je veux en venir...
Cours de contrebasse avec Kyle Mercredi prochain avant le jam session de
la semaine. Prière aux dieux de la musique de m'apporter grande créativité
et capacité d'apprentissage sur le dit instrument.
Bien sûr, cet apprentissage de la Upright Bass est strictement personnel
dans le contexte ou certaines personnes *cough* ne veulent strictement pas
accepter le concept même du jazz et semblent le catégoriser comme une
simple sonorité comme on peut faire avec, disons, le post-rock.
Pourquoi ais-je l'impression que ce dernier paragraphe sera le seul avec
*cough* Peanut Butter *cough* ...
J'aurais parfois envie de faire un post complet de rage sur tout les
sujets qui nous briment en tant que personne mais auxquels je ne peux
rien changer et me fait reprocher de ne pas être d'accord chaque jour,
un peu comme dans Cribcaged de Pain Of Salvation, si votre esprit non-endoctriné
à Pain Of Salvation comprends ce à quoi je veux en venir...
Cours de contrebasse avec Kyle Mercredi prochain avant le jam session de
la semaine. Prière aux dieux de la musique de m'apporter grande créativité
et capacité d'apprentissage sur le dit instrument.
Bien sûr, cet apprentissage de la Upright Bass est strictement personnel
dans le contexte ou certaines personnes *cough* ne veulent strictement pas
accepter le concept même du jazz et semblent le catégoriser comme une
simple sonorité comme on peut faire avec, disons, le post-rock.
Pourquoi ais-je l'impression que ce dernier paragraphe sera le seul avec
un minimum d'impact dans la section commentaires?
The Greatest Bane
On me reproche souvent d'être dépendant des autres dans ma
progression dans la vie. À partir de ce soir, j'affirmes officiellement que
c'est vrai, et 100% justifié.
J'aurais, par exemple, en ce moment, besoin de quelqu'un qui
connaîtrait le jazz assez pour m'indiquer où je me trouves en terme
de connaissances techniques.
Si personne ne me tappe en arrière de la tête en criant "Non! Tu rêves!",
je vais continuer de croire qu'un jour je pourrai vraiment participer
à ces jam sessions.
Aujourd'hui, j'ai assisté à un jam session qui durait la soirée et la nuit
au complet. Des musiciens de differents niveaux, de differentes provenances,
avec differents styles se sont présentés chacun leur tour et ont participé.
J'ai eu la chance de souper et socialiser avec eux, presque comme un des leurs.
Le hic? Ils sont probablement tous des étudiants en jazz à McGill.
Qu'est-ce que çà signifie?
Ils sont tous à des années lumières après moi en terme de connaissances
dans le domaine. Ils savent exactement ce que je joue, pourquoi je le joue,
mais pire, si je devrais le jouer ou non.
Je n'aurais pas encore l'aisance de jouer une walking bass line en sachant
qu'au moins 3 bassistes professionnels me voient et m'entendent jouer, et
ne seraient pas en accord avec ce que je joue.
Ce n'est pas forcément une question d'opinions, j'ai simplement évolué de
façon beaucoup trop individuelle dans le jazz. Ce à quoi j'ai habitué mes
oreilles en terme de walking est probablement complètement contre touts
principes fondamentaux de la basse jazz.
Pourquoi alors ais-je l'impression qu'ils ne feraient qu'un signe d'approbation
de la tête en souriant en entendant mon walking?
Ces personnes sont ... trop sympathiques. Ils donnent l'impression d'être
réellement habités par l'esprit, la philosophie du jazz.
J'ai donc décidé de prendre des cours avec un contrebassiste qui y joue.
Il est un personnage sympathique qui m'a abordé la dernière fois à L'Étranger,
curieux de ma présence pour la seconde fois. Sa sympathie est inégalée.
Il dégage l'image du prof idéal, soit parfaitement compréhensif, patient et ouvert.
Je sembles m'être semi-intégré dans une sorte de cercle social du jazz Montréalais
dans lequel chaque personne correspond à ce profil. C'est parfait.
C'est absolument ce que je cherchais.
Ce qui me tracasse est le fait de ne pas encore avoir vu de bassiste électrique à ces
jams ouverts. Ils ont tous, jusqu'à présent, utilisée la contrebasse de mon futur prof.
Çà m'amène à croire que je devrais peut-être enfin songer à prendre des cours de
contrebasse plutôt que de basse électrique, pour faciliter les jams...
Mais apprendre la contrebasse signifierait ré-apprendre du début, et donc, ralentirait
de beaucoup ma progression vers les jam sessions...
Mais j'ai toujours voulu ré-apprendre du début. Il me suffirait d'être patient et de
progresser au rythme que j'aurais dû au départ.
Je suis quand même loin du faux-musicien stéréotype métalleux qui ne sait aucun accord
et qui ne pourrait pas dire ce qui se trame lors d'une pièce jazz, ce qui est un bon début.
J'ai cependant pris quelques "tics" nocifs dans mon apprentissage du jazz.
Par exemple ; lors d'un walking, j'ai tendance à jouer la fondamentale au début d'une mesure,
puis simplement "dériver" chromatiquement,
ce qui, avec d'autres musiciens, créerait surement un grosse assonance désagréable.
Je pratiques pourtant avec Band-in-a-box, et çà semble "passer".
J'aurais cependant peur de ce que quelqu'un connaissant la basse le moindrement pourrait
me dire sur le sujet...
Cette faille dans mon walking provient du fait que je n'ai jamais appris les modes.
Est-ce acceptable, pour des étudiants de McGill, de ne pas connaître les modes?
Non.
Apprendre tout depuis le début serait la meilleure façon d'éliminer ce genre d'habitudes,
et du même coup, d'apprendre les modes.
Au moins, en étant à Montréal, je ne suis plus entouré de mélomanes élevés sur du métal
qui ne sauront jamais apprécier le jazz, faute de le comprendre.
Prochaine étape : Je devrai faire preuve de moins gêne et réellement me présenter
à beaucoup d'autres personnes. Jusqu'à date, j'ai fait preuve d'une grande gêne et
n'ai vraiment communiqué qu'avec 3 ou 4 personnes dans ce cercle.
Un nouveau mode de vie s'installe...
progression dans la vie. À partir de ce soir, j'affirmes officiellement que
c'est vrai, et 100% justifié.
J'aurais, par exemple, en ce moment, besoin de quelqu'un qui
connaîtrait le jazz assez pour m'indiquer où je me trouves en terme
de connaissances techniques.
Si personne ne me tappe en arrière de la tête en criant "Non! Tu rêves!",
je vais continuer de croire qu'un jour je pourrai vraiment participer
à ces jam sessions.
Aujourd'hui, j'ai assisté à un jam session qui durait la soirée et la nuit
au complet. Des musiciens de differents niveaux, de differentes provenances,
avec differents styles se sont présentés chacun leur tour et ont participé.
J'ai eu la chance de souper et socialiser avec eux, presque comme un des leurs.
Le hic? Ils sont probablement tous des étudiants en jazz à McGill.
Qu'est-ce que çà signifie?
Ils sont tous à des années lumières après moi en terme de connaissances
dans le domaine. Ils savent exactement ce que je joue, pourquoi je le joue,
mais pire, si je devrais le jouer ou non.
Je n'aurais pas encore l'aisance de jouer une walking bass line en sachant
qu'au moins 3 bassistes professionnels me voient et m'entendent jouer, et
ne seraient pas en accord avec ce que je joue.
Ce n'est pas forcément une question d'opinions, j'ai simplement évolué de
façon beaucoup trop individuelle dans le jazz. Ce à quoi j'ai habitué mes
oreilles en terme de walking est probablement complètement contre touts
principes fondamentaux de la basse jazz.
Pourquoi alors ais-je l'impression qu'ils ne feraient qu'un signe d'approbation
de la tête en souriant en entendant mon walking?
Ces personnes sont ... trop sympathiques. Ils donnent l'impression d'être
réellement habités par l'esprit, la philosophie du jazz.
J'ai donc décidé de prendre des cours avec un contrebassiste qui y joue.
Il est un personnage sympathique qui m'a abordé la dernière fois à L'Étranger,
curieux de ma présence pour la seconde fois. Sa sympathie est inégalée.
Il dégage l'image du prof idéal, soit parfaitement compréhensif, patient et ouvert.
Je sembles m'être semi-intégré dans une sorte de cercle social du jazz Montréalais
dans lequel chaque personne correspond à ce profil. C'est parfait.
C'est absolument ce que je cherchais.
Ce qui me tracasse est le fait de ne pas encore avoir vu de bassiste électrique à ces
jams ouverts. Ils ont tous, jusqu'à présent, utilisée la contrebasse de mon futur prof.
Çà m'amène à croire que je devrais peut-être enfin songer à prendre des cours de
contrebasse plutôt que de basse électrique, pour faciliter les jams...
Mais apprendre la contrebasse signifierait ré-apprendre du début, et donc, ralentirait
de beaucoup ma progression vers les jam sessions...
Mais j'ai toujours voulu ré-apprendre du début. Il me suffirait d'être patient et de
progresser au rythme que j'aurais dû au départ.
Je suis quand même loin du faux-musicien stéréotype métalleux qui ne sait aucun accord
et qui ne pourrait pas dire ce qui se trame lors d'une pièce jazz, ce qui est un bon début.
J'ai cependant pris quelques "tics" nocifs dans mon apprentissage du jazz.
Par exemple ; lors d'un walking, j'ai tendance à jouer la fondamentale au début d'une mesure,
puis simplement "dériver" chromatiquement,
ce qui, avec d'autres musiciens, créerait surement un grosse assonance désagréable.
Je pratiques pourtant avec Band-in-a-box, et çà semble "passer".
J'aurais cependant peur de ce que quelqu'un connaissant la basse le moindrement pourrait
me dire sur le sujet...
Cette faille dans mon walking provient du fait que je n'ai jamais appris les modes.
Est-ce acceptable, pour des étudiants de McGill, de ne pas connaître les modes?
Non.
Apprendre tout depuis le début serait la meilleure façon d'éliminer ce genre d'habitudes,
et du même coup, d'apprendre les modes.
Au moins, en étant à Montréal, je ne suis plus entouré de mélomanes élevés sur du métal
qui ne sauront jamais apprécier le jazz, faute de le comprendre.
Prochaine étape : Je devrai faire preuve de moins gêne et réellement me présenter
à beaucoup d'autres personnes. Jusqu'à date, j'ai fait preuve d'une grande gêne et
n'ai vraiment communiqué qu'avec 3 ou 4 personnes dans ce cercle.
Un nouveau mode de vie s'installe...
Collecting Space
N'importe qui me connaissant un tant soit peu ne pourrait que
confirmer ma "chance légendaire", expression sarcastique que j'ai
toujours utilisée pour exprimer à quel point les choses négatives
semblent s'accumuler sur mes épaules au point d'insensibilité.
Encore une fois, ce principe tout aussi scientifique que la physique
et les mathématiques s'est appliqué dans ma journée en me forçant
à faire une nuit blanche.
Jusqu'ici, les nuits blanches auxquelles j'avais pris part étaient simplement
par égoïstes élans créatifs, ou par simple envie de surpasser ma nature
humaine. Ces dernières avaient tous échouées lamentablement.
Aujourd'hui, c'est une toute autre histoire.
J'avais choisi cette nuit pour faire mon lavage à la buanderie l'autre côté
de la rue, et du même coup, me prendre une poutine pour emporter
et me louer un film pendant que mon linge serait au lavage.
J'ai donc démarré mon lavage, procédé à louer un film ( "9", un film d'animation),
ramener le film à la maison avec ma boîte de savon à lessive et
ensuite, commander la dite poutine, sauce italienne.
Le hic : la porte de la buanderie s'est brisée au moment où elle s'est
refermée quand j'ai été loué mon film.
Mon linge est donc enfermé dans la laveuse de la buanderie publique d'en
face depuis les 5 dernières heures. J'ai contacté le propriétaire pour qu'il
vienne la réparer, mais il ne s'est pas montré comme promis il y a de cela
5 heures.
Je suis donc dans le processus d'une nuit blanche forcée, pour surveiller mon
linge et attendre patiemment le propriétaire.
Inutile de préciser qu'avec ma chance légendaire, le linge qui se trouve dans la
machine présentement compose probablement 90% de ma garde-robe ainsi
que l'ensemble de mes sous-vêtements et de mes serviettes de douche.
Je vous laisse imaginer la rage qui suiverait un vol de toutes ces choses.
Ce qui m'irrite le plus, c'est que je vais devoir les mettre dans le sèchage
par la suite.
Pour empirer la situation, il ne nous reste plus de café, ni de lait.
Aucun moyen artificiel de rester réveiller.
Je pourrais, bien sûr, marcher 3 (très éloignés) coins de rues pour
prendre un (bof) café du Tim Hortons, mais çà me relèverait de la garde
de la fenêtre en prévision d'une ouverture de la fameuse porte.
Au moins, le film était interessant et original.
Cette semaine est très marquée par ma nouvelle fandom de The Ocean, et donc
des écoutes répètées de Precambrian et Fluxion, deux de mes plus chères possessions
musicales. J'ai aussi tendances à partager la période "IDM" de Yan, mais pas de la
même façon. Mon penchant pour la musique électronique se loge beaucoup plus
dans le minimaliste, ambiant et expérimental, tous des caractéristiques de l'image
que l'on se fait de l'IDM. Les genres d'IDM qu'il m'a présentés, cependant,
correspondent rarement à ce que je recherches de la musique électronique.
Mon idéal se définirait par l'album The Last Resort de Trentemøller.
J'ai aussi pris une grande décision, ou plutôt une résolution :
Je me dois de lire. Nul ne peut prôner la culture sans s'adonner à la lecture,
puisque la société ne semble croire que la musique est culture de nos jours.
confirmer ma "chance légendaire", expression sarcastique que j'ai
toujours utilisée pour exprimer à quel point les choses négatives
semblent s'accumuler sur mes épaules au point d'insensibilité.
Encore une fois, ce principe tout aussi scientifique que la physique
et les mathématiques s'est appliqué dans ma journée en me forçant
à faire une nuit blanche.
Jusqu'ici, les nuits blanches auxquelles j'avais pris part étaient simplement
par égoïstes élans créatifs, ou par simple envie de surpasser ma nature
humaine. Ces dernières avaient tous échouées lamentablement.
Aujourd'hui, c'est une toute autre histoire.
J'avais choisi cette nuit pour faire mon lavage à la buanderie l'autre côté
de la rue, et du même coup, me prendre une poutine pour emporter
et me louer un film pendant que mon linge serait au lavage.
J'ai donc démarré mon lavage, procédé à louer un film ( "9", un film d'animation),
ramener le film à la maison avec ma boîte de savon à lessive et
ensuite, commander la dite poutine, sauce italienne.
Le hic : la porte de la buanderie s'est brisée au moment où elle s'est
refermée quand j'ai été loué mon film.
Mon linge est donc enfermé dans la laveuse de la buanderie publique d'en
face depuis les 5 dernières heures. J'ai contacté le propriétaire pour qu'il
vienne la réparer, mais il ne s'est pas montré comme promis il y a de cela
5 heures.
Je suis donc dans le processus d'une nuit blanche forcée, pour surveiller mon
linge et attendre patiemment le propriétaire.
Inutile de préciser qu'avec ma chance légendaire, le linge qui se trouve dans la
machine présentement compose probablement 90% de ma garde-robe ainsi
que l'ensemble de mes sous-vêtements et de mes serviettes de douche.
Je vous laisse imaginer la rage qui suiverait un vol de toutes ces choses.
Ce qui m'irrite le plus, c'est que je vais devoir les mettre dans le sèchage
par la suite.
Pour empirer la situation, il ne nous reste plus de café, ni de lait.
Aucun moyen artificiel de rester réveiller.
Je pourrais, bien sûr, marcher 3 (très éloignés) coins de rues pour
prendre un (bof) café du Tim Hortons, mais çà me relèverait de la garde
de la fenêtre en prévision d'une ouverture de la fameuse porte.
Au moins, le film était interessant et original.
Cette semaine est très marquée par ma nouvelle fandom de The Ocean, et donc
des écoutes répètées de Precambrian et Fluxion, deux de mes plus chères possessions
musicales. J'ai aussi tendances à partager la période "IDM" de Yan, mais pas de la
même façon. Mon penchant pour la musique électronique se loge beaucoup plus
dans le minimaliste, ambiant et expérimental, tous des caractéristiques de l'image
que l'on se fait de l'IDM. Les genres d'IDM qu'il m'a présentés, cependant,
correspondent rarement à ce que je recherches de la musique électronique.
Mon idéal se définirait par l'album The Last Resort de Trentemøller.
J'ai aussi pris une grande décision, ou plutôt une résolution :
Je me dois de lire. Nul ne peut prôner la culture sans s'adonner à la lecture,
puisque la société ne semble croire que la musique est culture de nos jours.
Make way.
Juste pour le plaisir, et parce que je n'ai aucune mémoire
émotionnelle, j'aimerais enfermer ce moment de confort personnel
dans un post de blog, mais pas forcément en jouant avec les mots.
J'ai trouvé une manière plus originale, et utile étant donné mon
manque de mémoire en général :
Ce que je ferai demain :
Lire à la bibliothèque (faute de pouvoir emprunter),
Acheter Fluxion (kill me.),
Acheter une veste (mon ancienne est toute déchirée et n'as pas survécue le sèchage...),
Manger quelque part (optionnel),
Assister à une autre Jam Session (rituel nouvellement sacré du Lundi),
Demander à quelqu'un d'être ma valentine (oui oui, très cliché),
Boire beaucoup de café.
Non seulement cette liste me rappellera-t'elle ce que je
me dois de faire demain en me levant, mais elle me permettra peut-être
de retrouver le même état d'esprit confortable dans lequel je me trouves
présentement, puisque çà n'arrive que très rarement.
L'état d'esprit est une chose qui varie selon beaucoup de facteurs, mais
ce que je chéris le plus dans ma philosophie de vie.
Mon état d'esprit idéal contient, par ordre d'importance :
1. Un sentiment de confort (peut être monétaire, aussi capitaliste que cela puisse sembler...)
2. Une touche de créativité, pouvoir créer de la musique, sans nécéssairement le faire.
3. Un minimum d'assurance (aide à socialiser)
Certaines choses amènent ces éléments de façon artificielle
dans mon état d'esprit. Lorsque j'assistes à un Jam Session, j'en ressors
avec un élan de créativité bénéfique à la pratique, aussi appellé "motivation".
L'assurance, elle, est un pré-requis pour la recherche d'emploi,
même si cette dernière n'est plus obligatoire.
Je devrais, cependant, me trouver un deuxième emploi, de jour, en attendant la
rentrée scolaire. Les heures que je fais présentement ne me permettent pas de payer
plus que mon loyer et 60-70$ d'épicerie par semaine, ce qui n'est vraiment pas assez.
J'aimerais bien revivre dans le luxe d'un emploi à temps plein comme l'an dernier,
ne serait-ce qu'une dernière fois avant de m'auto-condamner à ne plus jamais pouvoir.
Parenthèse hors-sujet.
Le confort, lui, provient de la chaleur, de l'absence de responsabilités
(à ne pas confondre avec la fainéantise) ou encore du sentiment d'être aimé
(alerte au cliché encore une fois).
émotionnelle, j'aimerais enfermer ce moment de confort personnel
dans un post de blog, mais pas forcément en jouant avec les mots.
J'ai trouvé une manière plus originale, et utile étant donné mon
manque de mémoire en général :
Ce que je ferai demain :
Lire à la bibliothèque (faute de pouvoir emprunter),
Acheter Fluxion (kill me.),
Acheter une veste (mon ancienne est toute déchirée et n'as pas survécue le sèchage...),
Manger quelque part (optionnel),
Assister à une autre Jam Session (rituel nouvellement sacré du Lundi),
Demander à quelqu'un d'être ma valentine (oui oui, très cliché),
Boire beaucoup de café.
Non seulement cette liste me rappellera-t'elle ce que je
me dois de faire demain en me levant, mais elle me permettra peut-être
de retrouver le même état d'esprit confortable dans lequel je me trouves
présentement, puisque çà n'arrive que très rarement.
L'état d'esprit est une chose qui varie selon beaucoup de facteurs, mais
ce que je chéris le plus dans ma philosophie de vie.
Mon état d'esprit idéal contient, par ordre d'importance :
1. Un sentiment de confort (peut être monétaire, aussi capitaliste que cela puisse sembler...)
2. Une touche de créativité, pouvoir créer de la musique, sans nécéssairement le faire.
3. Un minimum d'assurance (aide à socialiser)
Certaines choses amènent ces éléments de façon artificielle
dans mon état d'esprit. Lorsque j'assistes à un Jam Session, j'en ressors
avec un élan de créativité bénéfique à la pratique, aussi appellé "motivation".
L'assurance, elle, est un pré-requis pour la recherche d'emploi,
même si cette dernière n'est plus obligatoire.
Je devrais, cependant, me trouver un deuxième emploi, de jour, en attendant la
rentrée scolaire. Les heures que je fais présentement ne me permettent pas de payer
plus que mon loyer et 60-70$ d'épicerie par semaine, ce qui n'est vraiment pas assez.
J'aimerais bien revivre dans le luxe d'un emploi à temps plein comme l'an dernier,
ne serait-ce qu'une dernière fois avant de m'auto-condamner à ne plus jamais pouvoir.
Parenthèse hors-sujet.
Le confort, lui, provient de la chaleur, de l'absence de responsabilités
(à ne pas confondre avec la fainéantise) ou encore du sentiment d'être aimé
(alerte au cliché encore une fois).
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