Make way.

Juste pour le plaisir, et parce que je n'ai aucune mémoire
émotionnelle, j'aimerais enfermer ce moment de confort personnel
dans un post de blog, mais pas forcément en jouant avec les mots.
J'ai trouvé une manière plus originale, et utile étant donné mon
manque de mémoire en général :

Ce que je ferai demain :

Lire à la bibliothèque (faute de pouvoir emprunter),
Acheter Fluxion (kill me.),
Acheter une veste (mon ancienne est toute déchirée et n'as pas survécue le sèchage...),
Manger quelque part (optionnel),
Assister à une autre Jam Session (rituel nouvellement sacré du Lundi),
Demander à quelqu'un d'être ma valentine (oui oui, très cliché),
Boire beaucoup de café.

Non seulement cette liste me rappellera-t'elle ce que je
me dois de faire demain en me levant, mais elle me permettra peut-être
de retrouver le même état d'esprit confortable dans lequel je me trouves
présentement, puisque çà n'arrive que très rarement.
L'état d'esprit est une chose qui varie selon beaucoup de facteurs, mais
ce que je chéris le plus dans ma philosophie de vie.

Mon état d'esprit idéal contient, par ordre d'importance :
 1. Un sentiment de confort (peut être monétaire, aussi capitaliste que cela puisse sembler...)
 2. Une touche de créativité, pouvoir créer de la musique, sans nécéssairement le faire.
 3. Un minimum d'assurance (aide à socialiser)

Certaines choses amènent ces éléments de façon artificielle
dans mon état d'esprit. Lorsque j'assistes à un Jam Session, j'en ressors
avec un élan de créativité bénéfique à la pratique, aussi appellé "motivation".

L'assurance, elle, est un pré-requis pour la recherche d'emploi,
même si cette dernière n'est plus obligatoire.
Je devrais, cependant, me trouver un deuxième emploi, de jour, en attendant la
rentrée scolaire. Les heures que je fais présentement ne me permettent pas de payer
plus que mon loyer et 60-70$ d'épicerie par semaine, ce qui n'est vraiment pas assez.
J'aimerais bien revivre dans le luxe d'un emploi à temps plein comme l'an dernier, 
ne serait-ce qu'une dernière fois avant de m'auto-condamner à ne plus jamais pouvoir.
Parenthèse hors-sujet.

Le confort, lui, provient de la chaleur, de l'absence de responsabilités
(à ne pas confondre avec la fainéantise) ou encore du sentiment d'être aimé
(alerte au cliché encore une fois).

1 commentaire:

Yan a dit...

Vive les moments comme ça ! Il faut en profiter, on en a jamais assez. Moi un moment que j'aime gros et que je suis calme c'est en fin de soirée, avec un album de post-rock ou de IDM que j'ai pu rentrer dedans, que j'ai pas de préoccupations, que tout va bien, et que je suis en train de bloguer tout en étant dans la lune. [/inintéressant]