Weaving Spiders Come Not Here

Une fascination pour :
- l'espace
- les concepts
- la géographie
- le son (musique ou non)
- l'esthétique
- l'art (séparément de l'esthétique)
- les médias
- les liens sociaux
- l'apocalypse
- l'improvisation et la composition (musique)
- les cultures, les civilisations
- le dévelopement psychologique
- les goûts (principalement acquis)

Et j'ai commencé à prendre en note des titres pour des futures
compositions post-rock, en pensant que le titre lui-même m'inspirera
surement à une mélodie, qui elle mènera à du post-rock magistral
(ou, comme à l'habitude, un flop MONOmental).
Ces titres sont habituellement très personnels, comme par exemple
le très significatif "Years Ago, When All was Perfect".

Bien sûr, je ne pourrai pas commencer à composer du post-rock
sans avoir retrouvée la fameuse pédale d'effets de mon père, qui
est portée disparue depuis plusieurs siècles.
Le post-rock est probablement le seul genre musical auquel je pardonnes
de ne pouvoir être composé qu'à partir de la guitare ou du piano.
Précision suppositionnelle : Le post-métal, lui, peut être composé à
partir de n'importe quel instrument, à l'instar du post-rock, qui lui est
centré sur sa mélodie plutôt que sa l'assemblement de sa composition.


Mais qu'est-ce que cette urgence de trop philosopher ces jours-ci?
Peut-être est-ce un refoulement dû à trop longtemps sur l'autopilote.
Ce temps sur l'autopilote m'a pourtant temporairement guérit...
Peut-être est-ce le stress du changement de vie soudain pour la
deuxième fois.
La première fois avait été assez brutale par contre,
alors que celle-ci semble simple, quoique solitaire dans
un sens, mais beaucoup moins dans un autre...
La transition semble se faire beaucoup trop facilement en réalité.
Cette idée me fait peur.
Quelque chose pourrait tourner mal, un regret pourrait soudainement
apparaître de nul part et me hanter lors de ce déménagement tout comme
un regret m'avait violemment frappé quelques mois auparavant alors que
je me massacrais intérieurement à tenter de l'oublier, à essayer de changer
désespérément. C'est selon cette façade pathétique que tout ceux qui
composent ma vie sociale scolaire m'ont rencontré et appréhendé, c'est
probablement pourquoi ils ne m'expriment aucun respect.
Le choix de rester ici demeure sur ses épaules et non les miennes.


J'aurais ma part de choses à dire, de souvenirs à tenter de laisser,
mais si peu de temps demeure avant le départ, le renouveau.
Il n'y a qu'une chose que je tiendrais à expliquer, que je regrettes.
Son explication requièrerait, cependant, de créer encore plus de regret.

La vie est très complexe quand on tente de la comprendre.
Il y a, cependant, certaines situations dans lesquelles on ne peut
simplement pas fonctionner sur l'auto-pilote.

Je me suis amusé follement à truffer ce post de liens de mise
en contexte tous plus importants et significatifs les uns que les
autres.

2 commentaires:

Yan a dit...

Peu étonnant que nous partageons relativement beaucoup de passions communes (au moins 6-7).
Sinon je t'encourage a post-rocker, c'est en en faisant (ouf ca s'écrit bizarrement) qu'on s'améliore.

Sinon, j'aimerais un éclaircissement sur le manque de respect et l'appréhendation de ceux qui composent ta vie sociale, je ne suis pas sur de comprendre (est-ce une rancune que nous ne sommes pas allé au show des combos ?).

Ah, tu vas encore vendre ta basse ? v_v

TypeZero a dit...

Nan le regret ce srait d'en acheter une autre, parce que sa me couterait la peau du cul.
Et le manque de respect fait référence au monde de musique XD Lis comme faut un peu avant.